J'y ai pensé cette semaine, puis cet article me l'a remis en tête, ce blues hivernal.
Celui qui, déjà quand j'étais au collège me déprimait dès le matin ; voir les jours se réduire petit à petit puis le moment fatidique arriver : au réveil, un ciel tout noir, à la sortie des cours, une nuit noire déjà bien installée, surtout quand je rentrai du lycée à 18h.
Le matin, transie de froid lorsque je devais quitter mon pyjama et enfiler ma tenue du jour, alors que le chauffage était bien allumé dans la salle de bain.
L'impossibilité de me laver le matin, pour la même raison que la ligne précédente, on fait couler l'eau, on est bien au chaud, on la coupe pour se savonner, et voici la tremblotte qui s'installe.
Oui mais cette année, je ne me suis pas rendue compte que les jours rapetissaient tant que ça, je n'étais pas déprimée le matin en quittant mon lit (car même si moi je ne travaillais pas, je me levais avec SuperPapa, vers 7h), ni triste de voir la nuit s'installer à 17h.
Oui car cette année, j'ai eu un bon remède pour ne pas m'y faire penser ;
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